Selon le dernier rapport publié par le réseau ArabNet, le e-commerce, qui représente 780 millions de dollars au Liban, est le secteur le plus prometteur de l’économie numérique.
Selon les chiffres du cabinet d’études de marché Forrester, le e-commerce mondial représentera 1,5 trillion de dollars en 2017. Si actuellement les régions Mena, Afrique, Europe centrale et Inde combinées ne représentent que 2,5 % de ce marché, les opportunités de développement y sont jugées énormes avec un taux de croissance d’environ 23 % par an.
Actuellement à 39 milliards de dollars, le e-commerce dans les pays arabes devrait représenter 51 milliards de dollars en 2017. Si les marchés les plus importants sont les Émirats arabes unis (10 milliards de dollars), l’Arabie saoudite (6,5 milliards de dollars) et l’Égypte (5 milliards de dollars), le Liban n’est pas en reste. Le e-commerce y représentait 780 millions de dollars en 2015, en croissance de 6 % par rapport à 2014. « Le e-commerce domine l’économie numérique au Moyen-Orient. Plus de deux tiers des investissements en nouvelles technologies concernent des entreprises de transactions », expliquent les auteurs du rapport, rédigé grâce aux données collectées auprès des plus grandes entreprises de e-commerce dans la région, soit Virgin, Xcite, Careem, Uber, Namshi, MarkaVIP, JadoPado, Talabat, Bookwitty, Meltoo, MiniExchange, eCommerce Sea et ReserveOut.
Rôle incontournable des réseaux sociaux
Le rapport montre que les réseaux sociaux jouent un rôle crucial dans la stratégie marketing des entreprises de e-commerce. La quasi-totalité des sondés déclarent avoir des comptes Facebook, Twitter et Instagram. Ces comptes servent à diffuser de la publicité de manière organique ou bien payante. Dans le cas des publicités payantes, Facebook domine largement les autres plates-formes en captant environ deux tiers des budgets publicitaires numériques des entreprises participantes.
Les applications au cœur de la stratégie mobile
Le recours à une application est un élément central des stratégies mobiles des entreprises de e-commerce. Ainsi, 61 % des entreprises interrogées déclarent avoir déjà leur propre application, tandis que 31 % déclarent en avoir une en cours de développement. L’importance de l’application mobile tient dans le fait que deux tiers des ventes des entreprises de e-commerce passent par le téléphone portable. Environ 70 % des sociétés sondées déclarent investir dans des stratégies de publicité sur mobile, mais la part de budget varie considérablement de l’une à l’autre.
Peu de paiements en ligne
Selon le rapport, la forte croissance des ventes en ligne ne va pas de pair avec un développement significatif des paiements en ligne. En effet, les entreprises interrogées déclarent qu’environ 75 % des transactions se font en liquide au moment de la livraison. Les entreprises indiquent que cela représente un défi, car il arrive assez souvent que les consommateurs changent d’avis au dernier moment. Pour cette raison, certains professionnels avaient d’abord commencé avec un modèle de paiement uniquement en ligne, mais ont dû réintégrer les transactions en liquide pour ne pas se couper de la majorité de la clientèle.
Actuellement à 39 milliards de dollars, le e-commerce dans les pays arabes devrait représenter 51 milliards de dollars en 2017. Si les marchés les plus importants sont les Émirats arabes unis (10 milliards de dollars), l’Arabie saoudite (6,5 milliards de dollars) et l’Égypte (5 milliards de dollars), le Liban n’est pas en reste. Le e-commerce y représentait 780 millions de dollars en 2015, en croissance de 6 % par rapport à 2014. « Le e-commerce domine l’économie numérique au Moyen-Orient. Plus de deux tiers des investissements en nouvelles technologies concernent des entreprises de transactions », expliquent les auteurs du rapport, rédigé grâce aux données collectées auprès des plus grandes entreprises de e-commerce dans la région, soit Virgin, Xcite, Careem, Uber, Namshi, MarkaVIP, JadoPado, Talabat, Bookwitty, Meltoo, MiniExchange, eCommerce Sea et ReserveOut.
Rôle incontournable des réseaux sociaux
Le rapport montre que les réseaux sociaux jouent un rôle crucial dans la stratégie marketing des entreprises de e-commerce. La quasi-totalité des sondés déclarent avoir des comptes Facebook, Twitter et Instagram. Ces comptes servent à diffuser de la publicité de manière organique ou bien payante. Dans le cas des publicités payantes, Facebook domine largement les autres plates-formes en captant environ deux tiers des budgets publicitaires numériques des entreprises participantes.
Les applications au cœur de la stratégie mobile
Le recours à une application est un élément central des stratégies mobiles des entreprises de e-commerce. Ainsi, 61 % des entreprises interrogées déclarent avoir déjà leur propre application, tandis que 31 % déclarent en avoir une en cours de développement. L’importance de l’application mobile tient dans le fait que deux tiers des ventes des entreprises de e-commerce passent par le téléphone portable. Environ 70 % des sociétés sondées déclarent investir dans des stratégies de publicité sur mobile, mais la part de budget varie considérablement de l’une à l’autre.
Peu de paiements en ligne
Selon le rapport, la forte croissance des ventes en ligne ne va pas de pair avec un développement significatif des paiements en ligne. En effet, les entreprises interrogées déclarent qu’environ 75 % des transactions se font en liquide au moment de la livraison. Les entreprises indiquent que cela représente un défi, car il arrive assez souvent que les consommateurs changent d’avis au dernier moment. Pour cette raison, certains professionnels avaient d’abord commencé avec un modèle de paiement uniquement en ligne, mais ont dû réintégrer les transactions en liquide pour ne pas se couper de la majorité de la clientèle.
ArabNet assoit son expertise Avec ce rapport, le réseau ArabNet affirme son positionnement en tant qu’expert du numérique au Moyen-Orient. Avant tout connu pour son site Internet qui recense l’actualité du secteur et ses conférences annuelles, ArabNet s’est lancé depuis 2015 dans la production de rapports d’analyse chiffrée à travers une nouvelle entité de recherche, la “Business Intelligence Division”. |