L’accélérateur d’entreprises et fonds d’investissement égyptien Flat6Labs a annoncé la lancement de sa succursale au Beirut Digital District de Beyrouth lors du forum ArabNet. Dotés de 15 millions de dollars, Flat6Labs Beirut et Lebanon Seed Fund souhaitent soutenir plus d’une centaine d’entreprises libanaises sur les cinq prochaines années.
Le programme d’accélération de quatre mois propose à une dizaine de start-up, tous domaines confondus, un premier financement compris entre 30 000 et 50 000 dollars contre 10 à 15 % de parts du capital. Les candidatures sont actuellement ouvertes.
Une fois l’accélération terminée, les start-up peuvent avoir accès à plus de financements via le Lebanon Seed Fund, un fonds d’investissement chapeauté par la circulaire 331 de la Banque centrale. Ce fonds financera cinq entreprises chaque année et est aussi ouvert à des start-up n’ayant pas participé au programme d’accélération. Les tickets sont compris entre 150 000 et 500 000 dollars.
« C’est une étape de la vie des entreprises où nous sentons qu’il y a un manque au Liban, et c’est là notre avantage compétitif », dit Faouzi Rahal, directeur de Flat6Labs Beirut.
L’annonce de l’arrivée de Flat6Labs au Liban avait déjà eu lieu en 2015, mais le début des opérations a été retardé.
« Nous avons mis un an et demi à ajuster notre structure légale, car nous avons décidé de ne pas suivre le modèle adopté par les autres fonds d’investissement, notamment car la gestion des transactions s’y fait par un système de prêt d’actionnaire, ce qui induit beaucoup de frais bancaires », explique Faouzi Rahal.
« Nous sommes aujourd’hui enregistrés comme une société à capital variable, ce qui veut dire que nous pouvons modifier la taille de notre capital facilement et sans pénalités. Un autre avantage est qu’avec cette structure, les banques sont obligées d’honorer leurs promesses de financement », ajoute-t-il.
Flat6Labs dispose déjà d’un portefeuille de plus de 110 start-up ainsi que d’une présence en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, et va bientôt se lancer en Tunisie.
Le programme d’accélération de quatre mois propose à une dizaine de start-up, tous domaines confondus, un premier financement compris entre 30 000 et 50 000 dollars contre 10 à 15 % de parts du capital. Les candidatures sont actuellement ouvertes.
Une fois l’accélération terminée, les start-up peuvent avoir accès à plus de financements via le Lebanon Seed Fund, un fonds d’investissement chapeauté par la circulaire 331 de la Banque centrale. Ce fonds financera cinq entreprises chaque année et est aussi ouvert à des start-up n’ayant pas participé au programme d’accélération. Les tickets sont compris entre 150 000 et 500 000 dollars.
« C’est une étape de la vie des entreprises où nous sentons qu’il y a un manque au Liban, et c’est là notre avantage compétitif », dit Faouzi Rahal, directeur de Flat6Labs Beirut.
L’annonce de l’arrivée de Flat6Labs au Liban avait déjà eu lieu en 2015, mais le début des opérations a été retardé.
« Nous avons mis un an et demi à ajuster notre structure légale, car nous avons décidé de ne pas suivre le modèle adopté par les autres fonds d’investissement, notamment car la gestion des transactions s’y fait par un système de prêt d’actionnaire, ce qui induit beaucoup de frais bancaires », explique Faouzi Rahal.
« Nous sommes aujourd’hui enregistrés comme une société à capital variable, ce qui veut dire que nous pouvons modifier la taille de notre capital facilement et sans pénalités. Un autre avantage est qu’avec cette structure, les banques sont obligées d’honorer leurs promesses de financement », ajoute-t-il.
Flat6Labs dispose déjà d’un portefeuille de plus de 110 start-up ainsi que d’une présence en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, et va bientôt se lancer en Tunisie.