À l’occasion de l’inauguration de la conférence ArabNet, l’ambassadeur britannique au Liban, Hugo Shorter, a annoncé un investissement de 2,5 millions de dollars (3,2 millions de dollars) au profit du nouveau Centre de recherche international (IRC) développé par le UK Lebanon Tech Hub et basé au Liban.
« Ce partenariat vise à créer 25 000 emplois au Liban d’ici à 2025 », a déclaré l’ambassadeur.
L’IRC a pour but de faire le lien entre les idées qui fleurissent dans les universités libanaises et l’industrie mondiale de la technologie. L’idée à terme étant de positionner le Liban comme un véritable centre de recherche et développement pour tout le Moyen-Orient.
L’IRC servira de portail à des entreprises, internationales comme locales, qui souhaitent lancer des programmes de recherche ou bien développer de nouveaux produits dans le domaine des nouvelles technologies, et ce dans un environnement où les gains commerciaux profitent aux deux parties.
Comme premier projet concret, l’IRC a choisi d’établir un partenariat entre l’Université libanaise et le Laboratoire européen de physique des particules de Genève. Cette collaboration vise à produire le premier système de capteurs à fibres optiques destiné au secteur de l’agroalimentaire. Ce capteur devra permettre aux agriculteurs d’économiser de l’eau durant l’irrigation de leurs productions et ainsi d’augmenter le rendement des cultures tout en réduisant les coûts d’arrosage de 500 dollars par hectare à moins de 80 dollars par hectare.
« Ce partenariat vise à créer 25 000 emplois au Liban d’ici à 2025 », a déclaré l’ambassadeur.
L’IRC a pour but de faire le lien entre les idées qui fleurissent dans les universités libanaises et l’industrie mondiale de la technologie. L’idée à terme étant de positionner le Liban comme un véritable centre de recherche et développement pour tout le Moyen-Orient.
L’IRC servira de portail à des entreprises, internationales comme locales, qui souhaitent lancer des programmes de recherche ou bien développer de nouveaux produits dans le domaine des nouvelles technologies, et ce dans un environnement où les gains commerciaux profitent aux deux parties.
Comme premier projet concret, l’IRC a choisi d’établir un partenariat entre l’Université libanaise et le Laboratoire européen de physique des particules de Genève. Cette collaboration vise à produire le premier système de capteurs à fibres optiques destiné au secteur de l’agroalimentaire. Ce capteur devra permettre aux agriculteurs d’économiser de l’eau durant l’irrigation de leurs productions et ainsi d’augmenter le rendement des cultures tout en réduisant les coûts d’arrosage de 500 dollars par hectare à moins de 80 dollars par hectare.