Manara – Jal el-Bahr

Comme en 2016, le quartier Manara ne compte qu’un seul projet en construction à proximité de l’ancien phare. Cette tour de 23 étages compte 32 appartements avec un podium de 325 à 435 m2, puis de larges unités de 645 m2. Le projet se termine par un triplex de plus de 1 400 m2.

Depuis le démarrage des travaux en 2012, le prix de départ est de 8 500 dollars le m2, c’est l’immeuble le plus cher de Beyrouth si on exclut les projets balnéaires de la capitale.

Actuellement, quatre unités de 325 m2 sont à la vente pour 2,76 à 2,95 millions de dollars. Le promoteur annonce un taux des ventes de 80 % à quelques semaines de la livraison du projet.

La rue Najib Ardati relie le stade Riyadi à la nouvelle ambassade saoudienne. Un trois chambres à coucher au premier étage est affiché à 1,2 million de dollars. La valeur d’un appartement de 237 m2 avec une vue sur la mer a baissé de 7 % depuis 2016.

Le long de l’avenue de Paris, les vues sur la corniche et la mer Méditerranée se paient au prix fort. Certains appartements sont affichés à 9 500 dollars le m2, c’est pourtant 9 % de moins qu’en 2015.

Rue Michel Dabaghi à proximité de l’International College, trois appartements de 250 m2 sont sur le marché. En fonction des étages, les prix varient de 1,2 à 1,6 million de dollars. Ce sont plus ou moins les mêmes valeurs qu’en 2010.

Derrière le secteur du Riviera, la valeur du mètre carré d’un premier étage est passée de 1 700 dollars en 2005 à environ 5 500 dollars en 2017 !