Alors des années marquées par une succession de crises politiques et de paralysies institutionnelles, 2017 aura été l’année de l’accalmie pour l’industrie hôtelière. L’élection d’un président de la République, après plus de deux ans de vacance à la tête de l’État, et la formation d’un gouvernement ont contribué à redonner un sentiment de stabilité, essentiel pour le secteur. Ce sentiment a fléchi en novembre lorsque le Premier ministre Saad Hariri a annoncé sa démission à partir de Riyad, mais l’année aura été globalement favorable, marquée par le retour des touristes, notamment arabes. Selon les chiffres du ministère du Tourisme, le Liban a accueilli 1,86 million de visiteurs en 2017, un chiffre en hausse de 15 % par rapport à l’annÃ
Réouverture des salles obscures, entre enthousiasme et incertitudes
Publié le 3 juin 2021 par Nada Maucourant Atallah
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