Un article du Dossier
Où acheter à 15 minutes de Beyrouth en 2014
Dans le prolongement de Zalka et donc à peu éloignée de Beyrouth, Jal el-Dib offre un environnement urbain dégagé et encore relativement vert – avec quelques serres qui subsistent – pour des budgets variant entre 300 000 et 600 000 dollars. Les prix affichés pour les appartements au premier étage sont en moyenne de
2 300 dollars le mètre carré et ont légèrement augmenté depuis un an, contrairement à la tendance générale dans le Metn. Les immeubles en construction sont éparpillés dans les zones les plus denses, comme autour de l’ancienne “route de Tripoli” ou de la rue de la Municipalité, mais aussi dans des emplacements plus isolés et moins urbanisés. C’est à Bkenaya que les nouveaux projets sont les plus nombreux, en particulier dans la rue Saint-Yaacoub, qui délimite Jal el-Dib et Bkenaya. La région est encore plus verdoyante et aérée qu’à Jal el-Dib, et a l’avantage d’offrir de belles vues sur le littoral, même si ses infrastructures sont moins développées. Les prix au mètre carré sont légèrement inférieurs à ceux de Jal el-Dib, en moyenne à 2 000 dollars au premier étage.
Dans les deux régions, plus de 140 unités sont en cours de construction, avec trois grands projets qui cumulent les deux tiers du stock : Azur Village à Bkenaya, Naya du groupe Zardman et le grand projet Jal el Dib 413.
Plus de 75 % des unités en construction n’ont toujours pas trouvé d’acquéreurs, signe que les ventes se sont clairement ralenties depuis un an. « La demande expatriée n’est pas repartie, et la demande locale recherche des unités de 130 à 150 m² au prix de 1 500 dollars le m², ce qui n’est pas très fréquent dans la région », analyse Fadi Khairallah, un promoteur de Bkenaya.
2 300 dollars le mètre carré et ont légèrement augmenté depuis un an, contrairement à la tendance générale dans le Metn. Les immeubles en construction sont éparpillés dans les zones les plus denses, comme autour de l’ancienne “route de Tripoli” ou de la rue de la Municipalité, mais aussi dans des emplacements plus isolés et moins urbanisés. C’est à Bkenaya que les nouveaux projets sont les plus nombreux, en particulier dans la rue Saint-Yaacoub, qui délimite Jal el-Dib et Bkenaya. La région est encore plus verdoyante et aérée qu’à Jal el-Dib, et a l’avantage d’offrir de belles vues sur le littoral, même si ses infrastructures sont moins développées. Les prix au mètre carré sont légèrement inférieurs à ceux de Jal el-Dib, en moyenne à 2 000 dollars au premier étage.
Dans les deux régions, plus de 140 unités sont en cours de construction, avec trois grands projets qui cumulent les deux tiers du stock : Azur Village à Bkenaya, Naya du groupe Zardman et le grand projet Jal el Dib 413.
Plus de 75 % des unités en construction n’ont toujours pas trouvé d’acquéreurs, signe que les ventes se sont clairement ralenties depuis un an. « La demande expatriée n’est pas repartie, et la demande locale recherche des unités de 130 à 150 m² au prix de 1 500 dollars le m², ce qui n’est pas très fréquent dans la région », analyse Fadi Khairallah, un promoteur de Bkenaya.
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