Un article du Dossier
Le boom des chambres d’hôtes
Situé dans le village de Maasser el-Chouf, au bout d’une route bordée de cèdres, Beit el-Hana a un atout majeur : ses six chambres ont une vue directe sur la Réserve naturelle du Chouf, l’un des joyaux de la nature libanaise. Les amateurs de randonnées le savent bien : malgré un côté suranné, le gîte, ouvert pendant la saison estivale seulement, est complet tous les week-ends depuis l’arrivée des beaux jours.
Érigé en 1910, le bâtiment, propriété d’une famille de Beyrouth, est géré par Arcenciel. L’association libanaise assure également depuis 2003 la gestion de l’Auberge Saint-Michel, ancienne école reconvertie qui appartient au couvent de l’église voisine. Cinq ans plus tard, Arcenciel prend aussi en charge Beit el-Hana, pour transformer cette maison privée en un gîte d’accueil pour backpackers.
L’ONG a conservé l’architecture originelle de Beit el-Hana : de grandes dalles au sol, pierres anciennes aux murs, fenêtres de bois et salles voûtées. Seule concession à la modernité : les chambres disposent toutes d’une salle de bains privée. « Nous envisageons la rénovation intérieure de la maison, en la repeignant et en en rafraîchissant la décoration », explique Sélim Nasr de l’association Arcenciel, responsable de la maison d’hôte.
Les clients viennent pour profiter de la Réserve du Chouf, qui offre à pied, à vélo, voire en voiture, de longs itinéraires d’escapades. L’association libanaise Arcenciel veut redynamiser le village grâce au tourisme vert : « Nous organisons des randonnées, des promenades en vélo, des visites culturelles par des guides locaux et la vente de produits locaux », précise Sélim Nasr, récemment chargé de la gestion du centre.
Au soir venu, les amoureux de la nature repus de leur longue journée à crapahuter peuvent s’attarder sur l’immense terrasse, partagée avec les clients de l’Auberge Saint-Michel, ils profitent d’un moment de pure sérénité. Ici, pas de nourriture occidentale. Les repas sont 100 % libanais : fattouche, manouché, brochettes de poulet et hommos, arrosés d’un verre de vin ou d’arak…
Érigé en 1910, le bâtiment, propriété d’une famille de Beyrouth, est géré par Arcenciel. L’association libanaise assure également depuis 2003 la gestion de l’Auberge Saint-Michel, ancienne école reconvertie qui appartient au couvent de l’église voisine. Cinq ans plus tard, Arcenciel prend aussi en charge Beit el-Hana, pour transformer cette maison privée en un gîte d’accueil pour backpackers.
L’ONG a conservé l’architecture originelle de Beit el-Hana : de grandes dalles au sol, pierres anciennes aux murs, fenêtres de bois et salles voûtées. Seule concession à la modernité : les chambres disposent toutes d’une salle de bains privée. « Nous envisageons la rénovation intérieure de la maison, en la repeignant et en en rafraîchissant la décoration », explique Sélim Nasr de l’association Arcenciel, responsable de la maison d’hôte.
Les clients viennent pour profiter de la Réserve du Chouf, qui offre à pied, à vélo, voire en voiture, de longs itinéraires d’escapades. L’association libanaise Arcenciel veut redynamiser le village grâce au tourisme vert : « Nous organisons des randonnées, des promenades en vélo, des visites culturelles par des guides locaux et la vente de produits locaux », précise Sélim Nasr, récemment chargé de la gestion du centre.
Au soir venu, les amoureux de la nature repus de leur longue journée à crapahuter peuvent s’attarder sur l’immense terrasse, partagée avec les clients de l’Auberge Saint-Michel, ils profitent d’un moment de pure sérénité. Ici, pas de nourriture occidentale. Les repas sont 100 % libanais : fattouche, manouché, brochettes de poulet et hommos, arrosés d’un verre de vin ou d’arak…